Page84

Le résumé : une nuit, brusquement, les étoiles et la lune disparaissent. La Terre est coupée du reste de l'univers et le temps s'écoule des millions de fois plus vite à l'extérieur. Le Soleil ne va pas tarder à exterminer l'humanité. Nous suivons Tyler Dupree, jeune médecin, et ses amis les jumeaux Diane et Jason Lawton face à cette catastrophe.

Mon avis : un très bon livre de science-fiction. Le début est un peu obscur et petit à petit, tout se met en place. Les différentes solutions imaginées par les hommes sont interrésantes. L'arrivée de Martiens est aussi originale, bien pensée. On navigue entre le passé et le présent de manière fluide. 

Un extrait : "La fac de médecine avait fait de moi un accro à la caféine. "T'as de la chance, a estimé Jason. J'ai acheté une livre de guatémaltèque en chemin." Indifférents à la fin du monde, les Guatémaltèques continuaient à cultiver du café. "Je vais en préparer. Et te montrer les lieux pendant qu'il passe."

33e livre lu en 2018

Le résumé : une vendeuse de fruits dans la Drôme raconte ses drôles de clients. 

Mon avis : l'écriture est très travaillée mais l'ensemble semble superificiel voire prétentieux. On a le sentiment que l'auteur se regarde écrire. De plus, elle se moque de ses clients mais comme elle paraît peu sympathique, le livre en devient peu drôle. 

Un extrait : "Mais il continue son caprice et se roule sur le sol en braillant de plus belle. Les deux autres commencent à couiner à leur tour. La mère est à bout de nerfs. Pour calmer les braillards, je leur tends deux abricots à chacun. Les cris cessent instantanément, ils dévorent les fruits."

32e livre lu en 2018

Le résumé : le shérif Carl Houseman arrête, en pleine nuit d'hiver dans l'Iowa, un jeune cambrioleur et découvre les complices morts dans une maison. Il réalise rapidement que ces morts font partie d'une enquête plus vaste à laquelle le FBI va participer.

Mon avis : un roman policier peu réussi. On découvre les rouages du système américain, le rôle des avocats. Mais l'histoire est poussive, ennuyeuse, on se moque totalement de qui est Gabriel, de la façon dont il va être arrêté. Bref, je ne lirai pas d'autres romans de cet auteur.

Un extrait : "- Cletus, j'aimerais en savoir assez, d'ores et déjà, sur les évènements de l'autre nuit pour ne plus avoir à fouiner comme vous dites. Je voulais juste m'assurer que vous aviez bien trouvé le mandat, et répondre aux questions qui pourraient vous préoccuper."

31e livre lu en 2018

Le résumé : nous suivons le destin de plusieurs personnages entre 1914 et 1924 : les Gallois Ethel et son frère Billy, les Allemands Walter et Robert, les Russes Grigori et Lev, les aristocrates britanniques Maud et Fitz, l'Américain Gus... Ils vont participer de près ou de loin à la Première Guerre mondiale, à la Révolution russe, à l'après-guerre. 

Mon avis : un gros pavé de plus de 1 000 pages que j'ai dévoré. Ken Follett mêle habilement la petite et la grande histoire, les personnages sont attachants, passionnants ou révoltants, la description des différentes sociétés est précise tout comme celle de la guere (avant, pendant et après). J'ai hâte de lire la suite !

Un extrait : "Ils n'avaient pas parcouru cinq cent mètres à l'intérieur de la galerie que la température s'éleva, la fumée s'épaissit. Bientôt, ils entendirent des voix. En se guidant au bruit, ils s'engagèrent dans une galerie latérale. Cette partie de la veine était actuellement en exploitation."

30e livre lu en 2018

Le résumé : un enfant tombe par hasard sur un os ancien. Le commissaire Erlendur va enquêter pour tenter de comprendre à qui appartenait cet os, qui est enterré là. Dans le même temps, on suit la trajectoire d'une famille : lui (très violent), elle, sa fille et leurs fils.

Mon avis : un bon livre d'Indridason. J'ai aimé les aller-retour vers le passé, l'enquête qui progresse petit à petit. On suit aussi la vie privée du commissaire et de sa fille Eva Lind. La fin est un peu artificielle : celle qui détient la clef de l'énigme met un temps fou à cracher le morceau !

Un extrait : "Le soleil était au zénith, le temps clair et calme. Sigurdur Oli et Elinborg avaient interrogé quelques-uns des propriétaires sans obtenir quoi que ce soit d'intéressant et ils s'avançaient doucement vers les maisons situées le plus près du pied de la colline. Par cette belle matinée, rien ne pressait."

29e livre lu en 2018

Le résumé : une écrivain, Amélie, rencontre une de ses lectrices, Pétronille, lors d'une dédicace. Cette jeune femme étonnante, au physique de jeune garçon, va partager avec la narratrice de nombreuses bouteilles de champagne, une soirée à Londres, un voyage au ski, ses premiers romans et plus encore...

Mon avis : l'écriture est toujours aussi agréable, la description de la rencontre avec Vivienne Westwood, le ski, le Nouvel An avec les parents communistes de Pétronille sont très drôles. Les deux dernières pages sont extrêmement étonnantes, une vraie chute ! 

Un extrait : "Le lendemain, quatre bouteilles de laurent-perrier Cuvée Grand Siècle me furent livrées. A ce compte-là, je suis prête à interviewer les pires teignes de la planète, et à promener leur caniche où ils voudront."

28e livre lu en 2018

Le résumé : l'histoire de Nadia Comaneci, la petite gymnaste roumaine qui, en 1976, obtint un 10 lors des Jeux Olympiques. La narratrice nous raconte son histoire sous fond de guerre froide, de Roumanie communiste, de Ceausescu. 

Mon avis : l'écriture est un peu destabilisante au début car assez poétique, virevoletante. On alterne les moments de description de la vie de Nadia avec les dialogues entre la narratrice et cette même Nadia Comaneci. La description de la Roumanie sous la dictature est intéressante. Quelques passages sont un peu plus pénibles à lire notamment à la fin car les phrases partent dans tous les sens. 

Un extrait : "Qu'il est bon d'entourer d'accessoires l'histoire qu'ils sont en train d'écrire, comme la coiffure de Vera Caslavskà. Ses cheveux de princesse rock'n'roll, crêpés et ramassés en un haut chignon bouffant qu'elle retient d'un bandeau noir assorti à son eye-liner, une coiffure américaine et nocturne. Irrésistiblement supérieure, Vera exécute des figures  que seuls les hommes maîtrisent."

27e livre lu en 2018

Le résumé : une petite fille est retrouvée noyée à Fjällbacka. C'est l'enfant d'amis à Erica (qui vient d'avoir une petite fille) et à Patrik. Ce dernier mène l'enquête et remue des boues très anciennes, remontant au temps des tailleurs de pierre de la ville, il y a un siècle. 

Mon avis : c'est le 2e Camilla Lackberg que je lis et j'apprécie beaucoup cette auteur. J'ai été prise dans l'histoire, dans la description des moeurs de cette petite ville. J'ai aimé les allers-retours entre 1925 et aujourd'hui. 

Un extrait : "- Voyons voir, lundi. Kaj plisse le front et réfléchit. Oui, je l'ai vue à un moment donné le matin, mais j'ai du mal à dire quand. Elle est sortie de chez elle, elle sautait comme une grenouille. Cette môme-là ne pouvait jamais marcher comme tout le monde, fallait toujours qu'elle bondisse comme une balle de tennis."

26e livre lu en 2018

Le résumé : un écrivain new-yorkais reçoit une lettre de divorce de son épouse mais aussi le journal intime de son premier amour, dans le Berlin des années 1980. Il rencontre Petra à Radio Liberty en 1984 et vit une passion folle avec elle. 

Mon avis : un grand Douglas Kennedy. Le roman, plutôt épais, se dévore. La description de Berlin durant la guerre froide est passionnante. Les personnages (Thomas, Petra, Alistair, Mehmet) sont bien décrits, attachants chacun à leur manière. L'histoire d'amour entre Thomas et Petra est très touchante. Les deux retournements de situation du roman sont excellents, très surprenants. Ma seule touche d'agacement concerne le côté inéluctable de l'histoire d'amour, à la manière de Roméo et Juliette. 

Un extrait : "Je vous ai donné une chambre avec une excellente vue, m'avait-elle annoncé, et nous y avons remis le chauffage très tôt ce matin, sachant que vous arriviez aujourd'hui. Voilà plusieurs jours qu'un froid polaire s'est abattu sur Berlin. Surtout, ne mettez pas le nez dehors tant que cela durera. Vous attraperiez des engelures en un rien de temps et je n'ai pas envie de vous conduire aux urgences dès le lendemain de votre arrivée..."

25e livre lu en 2018 

Le résumé : l'enfance de Lena et de Lila dans un quartier très pauvre et violent de Naples. Nous suivons les deux fillettes à l'école, au début de leur adolescence jusqu'au temps de leurs premières amours. 

Mon avis : j'ai beaucoup entendu parler des romans d'Elena Ferrante. J'ai plutôt happé par le roman ; le personnage de Lila est assez fascinant et il est très intéressant d'entrer dans le quotidien d'un quartier pauvre napolitain. Les dernières scènes sont tendues et donnent tout simplement envie de lire la suite. La petite difficulté dans ce roman est, pour moi, la profusion des personnages secondaires. J'avoue que je me perdais parfois entre Alfonso, Antonio, Enzo...

Un extrait : "Au cours de notre dernière année de primaire, la richesse devint notre idée fixe. Nous en parlions comme on parle, dans les romans, de la recherche d'un trésor. Nous nous exclamions : Quand on sera riches, on fera ceci, on fera cela ! A nous entendre, on aurait dit que la richesse était cachée quelque part dans le quartier, dans des coffres qui, une fois ouverts, s'illuminaient, et qu'elle attendait simplement que nous la trouvions."

24e livre lu en 2018

Le résumé : Bientôt, nous ne mangerons plus de viande. Aymeric Caron, lui-même végétarien depuis des années, part de ce constat et explique une à une les raisons qui feront que, dans l'avenir, l'humanité sera végétarienne : raisons environnementales, morales, logiques...

Mon avis : un livre très intéressant avec des réflexions fort pertinentes, un argumentaire bien mené et parfois assez savoureux. Je suis bien entendu assez intéressée par le sujet ne mangeant plus de viande depuis des années.

Un extrait : "Chaque chien est-il le sosie de son maître ? Pas toujours, mais il arrive qu'ils se ressemblent. Pour quelle raison ? L'un déteint-il sur l'autre ? Ou bien l'homme choisit-il un compagnon dont les traits et l'allure lui inspirent confiance parce qu'ils sont semblables aux siens ?"

23e livre lu en 2018

Le résumé : l'enfance et l'adolescence de Rebecca, une petite fille née très laide. Elle vit dans une maison près du fleuve avec une mère incapable de s'occuper d'elle et un père très occupé. Heureusement, elle a Maddalena, sa nounou et le piano où elle se montre très talentueuse. 

Mon avis : un roman sensible, bien écrit, assez poignant. L'atmosphère de cette maison, de cette ville est décrite avec délicatesse. Les personnages secondaires comme Maddalena ou Lucilla sont touchants. A la limite, seule Rebecca est parfois un peu agaçante dans sa molesse.

Un extrait : "Cet été-là, tante Erminia revint rarement à la maison. Après son mensonge sur Milan, elle laissa entendre qu'elle partait en vacances mais on ne vit arriver aucune carte postale. D'ailleurs, personne ne lui demandait rien. Nos conversations du soir dans sa salle de bains s'étaient espacées et elle ne prenait jamais de nouvelles du maestro, toutefois, elle ne critiquait pas non plus les nouveaux morceaux qu'il lui arrivait de m'entendre jouer."

22e livre en 2018

Le résumé : en Norvège, la policière Kirsten enquête sur le meurtre d'une femme qui l'emmène jusqu'à une plate-forme pétrolière puis jusqu'à Martin Servaz, policier à Toulouse. Ensemble, ils vont traquer le serial killier Julian Hirtmann, ennemi personnel de Martin, mais aussi le jeune Gustav, 5 ans.

Mon avis : premier livre de Bernard Minier pour moi. Je comprends le succès de cet auteur. L'écriture est efficace et de meilleure qualité que certains polars actuels. Les chapitres s'enchaînent bien, la description des Pyrénées est intéressante. Le personnage de Martin mais aussi celui de Julian sont de vraies réussites. Cela me donne envie de découvrir les autres livres de cet auteur. 

Un extrait :  "Blessure par AF et TPT, dit la voix de femme près de lui. Je répète : blessure par arme à feu et traumatisme pénétrant du thorax. Plaie pénétrante au coeur fortement suspectée. Orifice d'entrée dans la région précordiale. Orifice de sortie dorsale. TRC supérieure à 3 secondes."

21e livre lu en 2018

Le résumé : pratiquement tous les habitants de la Terre ont disparu après l'invasion des extra-terrestres. Cassie essaye de survivre dans ce monde hostile et de retrouver son petit frère Sammy. Elle rencontre le mystérieux Evan Walker. Dans le même temps, Ben Parish devient zombie et apprend à se battre.

Mon avis : un gros pavé avec des longueurs. Le début de l'histoire est long à se mettre en place. Les chapitres s'enchaînent mieux ensuite. Suivre en parallèle les histoires de Ben et de Cassie est une bonne idée. En revanche, on sent que c'est de la litterature pour ados : le niveau de langue est assez faible. 

Un extrait : "Je suis passée devant lui pour me ruer vers la chambre d'un dinosaure de race humaine de seize ans, Cassiopeia Sullivanus extinctus. Puis je me suis ravisée et suis revenue lentement vers lui. Je ne pouvais pas le laisser pleurer comme ça. Nous nous étions beaucoup rapprochés l'un de l'autre depuis que maman était malade."

20e livre lu en 2018

Le résumé : nous sommes en 1927. Marcel Péricourt vient de mourir. Madeleine, sa fille, se retrouve seule à la tête d'une immense fortune. Elle va devoir la gérer tout en s'occupant de son fils Paul. Autour d'elle gravitent diverses personnalités, adversaire ou alliés.

Mon avis : j'ai beaucoup aimé retrouver le personnage de Madeleine. La société est très bien décrite, les personnages sont complexes et intéressants. Paul est particulièrement attachant. Gustave Joubert, Léonce, Vladi, Solange, André sont inoubliables. Chaque rebondissement est parfaitement amené et décrit. Bref, un excellent livre.

Un extrait : "Madeleine pensait à un châtiment divin. Mais, prononcée dans cette chambre, cette interrogation faisait de leur relation la responsable de ce qui était arrivé. André n'y était pas prêt."

19e livre lu en 2018

Le résumé : Une femme est retrouvée morte et atrocement mutilée. Le commissaire Sharko est chargé de mener l'enquête. Il s'avère rapidement que la police a affaire à un serial killer. Sharko n'est pas un policier comme les autres : il y a six mois, sa femme Suzanne a disparu...

Mon avis : on retrouve l'écriture, les thèmes favoris de Thilliez. C'est la première affaire de Sharko et cela permet de mieux comprendre le personnages. Le livre me semble cependant un peu long, Thilliez s'est amélioré dans les livres suivants.

Un extrait : "Je tapais du poing sur une table de métal pliante. Les petites cuillères sursautèrent dans leurs tasses à café. "Ecoutez-moi ! Une femme a été assassinée d'une e livre lu en manière peu catholique. Le tueur m'a emmené jusqu'ici, alors maintenant, vous allez me dire ce qui tourne autour de cette fille !". 

18e livre lu en 2018

Le résumé : un petit inventaire, fait de courtes nouvelles, sur tout ce que l'on peut dévorer : les nourritures terrestres (la purée, la pizza, la barbe à papa, la menthe à l'eau...) mais aussi les nourritures spirituelles (Sempé, Crin-Blanc, un menu de restaurant...).

Mon avis : le charme opère moins que dans d'autres recueils de Philippe Delerme. A vrai dire, les chapitres sur les nourritures terrestres sont plus touchants et forts que ceux sur les livres. L'ensemble est vite lu mais, je crois, vite oublié.

Un extrait : "Il nous tient, et le plaisir est grand de le tenir entre nos mais, de nous dire "Allez, d'une seule traite, pour l'hiver !" - ah oui, l'hiver est bien pour ça. C'est comme si on décidait. On regarde chaque soir le marque-page avancer - un quart, bientôt un tiers."

17e livre lu en 2018

Le résumé : en juin 2012, l'auteur achète un paquet de vieilles photographies. Elle décide d'imaginer l'histoire de ces gens : Laurence, Serge, Mamie poulet... Puis, dans la deuxième partie du roman, elle part à la recherche de ces vrais "gens" et découvre Laurence, Michel...

Mon avis : un roman très original et bouleversant. La première partie construite autour de l'absence de la mère est poignante : Laurence est un personnage bouleversant. Je craignais être déçue en découvrant la véritable vie des gens dans l'enveloppe mais en fait, petit à petit, on rentre dans l'intimité d'une histoire plus banale mais touchante, surtout grâce à Michel.

Un extrait : "Ils fêtent ses vingt-huit ans, Serge lui offre des boucles d'oreilles, deux clous auxquels sont accrochés des chaînettes en argent. Elle les trouve jolies, et lui aussi, tout tendre de son cadeau; elle les essaye."

16e livre lu en 2018

Le résumé : un petit livre sur les photos et la façon dont on peut les modifier, les recadrer afin d'en changer le sens. Le livre s'appuie sur des exemples concrets, historiques ou plus contemporains. 

Mon avis : un petit livre extrêmement intéressant, instructif et concret.

Un extrait : "Cette professionnelle basée à New York décrit avec humour son travail parfois absurde. "Je fais partie de ces créatures pâles, grises, qui se cachent dans des salles sombres, sans fenêtre, qui rendent encore plus maigres des mannequins maigres, encore plus parfaites des peaux parfaites, et possible l'impossible."

15e livre lu en 2018

Le résumé : 13 nouvelles écrites par des grands noms de la litterature française. "Olympe et Tatan" de Françoise Bourdin raconte un affreux dîner en famille. "Maligne" de Maxime Chattam décrit le calvaire d'un homme qui ne peut pas s'arrêter de manger. "Nulle, nullissisme en cuisine" raconte comment une femme mauvaise cuisinière doit préparer un repas pour le patron de son mari. "Un petit morceau de pain" d'Agnès Ledig nous montre comment l'attention d'un patient pour un petit garçon qui a faim peut changer la vie de sa mère. Gilles Legardinier dans "Mange ton dessert d'abord" nous décrit deux repas qui ont changé sa vie. Dans "Une initiative" de Pierre Lemaître, un vieux monsieur doit préparer un repas pour sa famille. Une rencontre entre deux hommes dans la nouvelle de Marc Levy "Dissemblance". Guillaume Musso dans "Fantôme" nous fait conte la rencontre entre Constance, en fin de vie et l'infirmier Damian. "Jules et Jim" de Jean-Marie Périer ou le dernier repas de deux vieux copains. Dans "Le parfait" de Tatiana de Rosnay, Monique marie sa fille. "La part de Reine" d'Eric-Emmanuel Schmitt est une leçon sur l'amour des chiens pour leur maître. Franck Thilliez raconte, dans "Gabrielle", l'histoire d'un couple amoureux des ours et des montagnes. Enfin, Bernard Werber se prend pour une "Langoustes bleues". 

Mon avis : il y a évidemment des nouvelles plus réussies que d'autres. J'ai eu une préférence pour les nouvelles écrites par Maxime Chattam, par Pierre Lemaître, par Franck Thilliez et par Gilles Legardinier.

Un extrait : "Je crois que c'est là qu'elle a lâché sa planche de bois. Sans mourir évidemment. Ma vie a changé grâce à un morceau de baguette et la sienne grâce à un mélange ketchup-mayo. Le destin tient parfois à peu de choses."

14e livre lu en 2018